YSTT 2011


In exactly 30 days the Yûro Shi Tenno Taikai of Paris begins!

This year has passed so fast that I am amazed that this is already the time for this major seminar. The Paris Taikai has evolved a lot since its creation back in 2007.

This is a very special seminar that was designed to give a chance to get the « Taikai feeling » of the old days to the newcomers to the bujinkan and a sense of « the good ol’days » to the old bujinkan members.

This seminar is special for many reasons:

First, this is the only remaining seminar where the « Shi tenno » are teaching together. Since 1993 Sven, Peter, Pedro & Arnaud have been teaching together in Spain, France, England, Ireland etc…

Second, the four friends are used to teach together which gives a kind of « family feeling » to this event;

Third, this is a 3 days seminar like the taikai of the past when Hatsumi sensei was travelling the world to spread his teaching;

Fourth, the group of participants is divided into four groups by technical level. This means that a beginner will receive a class that he or she can understand; but also that a high rank student (judan and above) will also get something to improve his or her understanding;

Fifth, each day is divided into small training sessions of about 1 hour where each group has the chance to train with each one of the shihan in a private class;

Sixth, the 3 training halls (mats or wooden floor) allow each one to spend a full day of training in different environment;

Seventh, the free t-shirt, the hot meals, the free lodging (during, before or after the event), makes it a big opportunity to exchange with the many practitioners from all Europe but also to take the chance to visit Paris;

Eighth, the final party at the end of the third day is always a good moment before going back home and parting from 150 new friends coming from 15 to 18 countries.

The YSTT is a very good opportunity to meet your buyu from Europe, to exchange, train, and learn a lot of things in a very friendly environment.

This year, this is the 27th year of my bujinkan training. SO I decided that each participant that is booked online will receive a FREE 2 months unlimited access to our online streaming website displaying more than 600 bujinkan techniques.

Thank you for your support!

A. Cousergue
Bujinkan Shihan

YSTT booking HERE

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27 Ans Dans Le Bujinkan Cela Se Fête !

3 & 4 juin 2011 à Vincennes au dôjô du Bujinkan France

C’est en juin 1984 que j’ai poussé pour la première fois la porte d’un dôjô du Bujinkan. Que de chemin parcouru depuis. C’est pourquoi ce stage de juin 2011, je veux en faire le stage anniversaire de mes 27 années de pratique du bujinkan.

Pendant ce stage nous étudierons toutes les techniques de sabre du kukishin ryû appliquées au tachi afin de nous pénétrer de l’esprit de cette école fantastique développée en pleine période Muromachi.

Mais nous reverrons (ou verrons pour les nouveaux) chaque jour pour s’échauffer les bases du travail au sabre : postures, kiri, suburi, torite, et autres principes de base.

Je vous demande donc de venir si possible avec un sabre souple, un bokken avec saya, et si vous en avez un, un sabre métallique non tranchant. Chaque arme nous permettra de comprendre plus en détail la richesse technique de cette arme légendaire.

Dimanche soir nous finirons la journée par un pot « anniversaire » en fin de journée.

Je compte sur votre présence nombreuse.

Amicalement,

Arnaud Cousergue

INSCRIPTION EN LIGNE

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Shidôshikai Montpellier Mai 2011

Avec sensei suite à la remise du diplôme 19 avril 2011

La shidôshikai est toujours un moment particulier dans la vie du Bujinkan en France et je compte sur votre présence à tous pour cette nouvelle édition dans quelques jours. Comme toujours, beaucoup d’entre vous « auraient aimé » venir et ne pourrons pas. Et c’est bien dommage.

De nombreux professeurs de toute la France se réunissent 2 fois par an à Strasbourg et à Montpellier dans le but de se retrouver et d’échanger leurs points de vues sur notre discipline. La semaine dernière, Sôke nous disait (à Pedro et à moi) qu’il fallait que les Jûgodan travaillent ensemble et j’aurai tendance à dire que cette même complicité devrait se retrouver aussi entre les différents professeurs français. Mais plus notre dicicpline se développe et plus je m’aperçois que beaucoup se coupent des autres pour exister par eux-mêmes. C’est le négation du « en no kirinai » proné par sensei. Et c’est bien dommage.

Cette shidôshikai sera exceptionnelle aussi car nous y ferons de nombreuses annonces visant à regrouper les bonnes volontés et inscrire le bujinkan dans une évolution majeure. Je profiterai aussi de cette tribune pour partager avec vous les directives de sensei et mettre au point certaines choses qui minent notre discipline.

Je compte donc sur votre présence ce week-end.

Bufû Ikkan!

A. Cousergue

Bujinkan Shihan Jûgodan (2004)

Médaille d’or du Bujinkan (1993)

Menkyo Kaiden Tachi waza (2004)

Bufû Ikkan Shin Gi Tai (2011)

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Stage Retour Japon Avril 2011


Chers élèves,

Ce week-end comme vous le savez nous avons un stage au dôjô durant lequel nous partagerons ce que j’ai pu apprendre lors de mon dernier séjour là-bas.

Sensei a beaucoup insisté sur l’aspect « global » du thème kihon happô de cette année, nous ne nous limiterons donc pas aux 8 mouvements de base.

Je profiterai des breaks pour partager avec vous les moments privilégiés passés avec sensei.

Comme vous le savez maintenant la vie reprend son cours normal et le dôjô vide à mon arrivée, s’est rempli peu à peu tout au long du séjour.

Au cours de ce stage nous étudierons surtout du taijutsu mais je vous demande d’avoir avec vous hambô, corde, sabre, et sabre souple car nous avons vu de nombreuses techniques d’armes au hombu.

Je vous attends motivés et ouverts.

A vendredi soir début des hostilités !

AJC

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Le Dôjô de Vincennes

Depuis plus de 15 ans maintenant, la section du Bujinkan France de Vincennes forme des élèves aux techniques de défense à mains nues et avec armes dans la droite ligne de ce qui se fait au Japon. Depuis 1990, je vais à Noda m’entraîner avec Maître Hatsumi et ses plus hauts gradés. Mais je ne suis pas le seul à faire cours à Vincennes et les différents enseignants qui interviennent lors de quatre sessions de la semaine ont tous été se former au Japon depuis longtemps. Notre équipe est heureuse de vous compter parmi nous.

A. Cousergue
Bujinkan Shihan Kûgyô Happô Biken
Médaille d’or du Bujinkan 1993
Menkyo Kaiden Tachi waza 2004
Bufu Ikkan Shin Gi Tai 2011

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Nouveau Blog : Les Billets de Kyôgyô

Bonjour à toutes et à tous.
Souhaitons la bienvenue à ce nouveau Blog écrit par Arnaud Cousergue
portant sur sa vision du Bujinkan en France, et en français s’il-vous-plaît !

http://kyogo.wordpress.com/

Bonne Lecture !

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Université Ten Chi Jin 2010

ganseki otoshi et boshi ken sur amado

Note importante concernant le stage Ten Chi Jin Université des 23-27 octobre 2010 :

INSCRIPTION EN LIGNE

Chers amis,

Le stage se déroulant au sein du Fort de Vincennes, il est demandé à tous ceux qui veulent participer de s’inscrire au plus tôt car, sécurité oblige, le dôjô du régiment de Vincennes où nous nous entraînerons nous demande la liste des personnes pour leur établir les badges d’entrée.

Par ailleurs, le stage commençant le samedi matin, nous avons réparti les 5 jours de cours suivant un programme technique en trois modules : débutants, intermédiaire, avancé. Trois manuels de travail (1par module) seront remis aux participants à chaque début de module. Ces trois modules suivent « grosso modo » le programme de kyû du Bujinkan France.

Concernant ce programme du Bujinkan France, il est sans doute bon de préciser plusieurs points.

1. Dans un post récent du Rokudai Dôjô, il est dit que « Le Tenchijin Ryaku no Maki Existe dans sa forme la plus pure sous forme de livre (plus édité de nos jours) écrit par Sensei Hatsumi, seul deux Shidoshi, Pedro Fleitas et Sveneric Bogsater ont publié à leur tour les premières versions Européennes du Tenchijin Japonais ». C’est vrai et faux à la fois. La version de Pedro lui a été remise par moi-même lors du Taikai UK 1990, quant à celle de Sveneric c’est Mariette qui l’a edité (elle se met en colère quand on lui dit cela). Quant à la disponibilité de ce manuel reçu du Japon en 1987, je l’ai réédité l’an passé (tenchijin originel sur http://www.budomart.com). Il est en anglais.

2. Si effectivement, il n’existe pas de programme Kyû au Japon, il est vrai que le tenchijin ryaku no maki est la base de connaissance à savoir pour l’obtention de la ceinture noire. Jusque vers la fin des années 90′ l’enseignement par « boite » était la norme mais les occidentaux avaient du mal à s’y retrouver et les questions du genre : « pourquoi omote gyaku est-il à la fois dans le Ten, dans le Chi et le Jin ? » étaient fréquentes. Nous avons donc organisé à Paris des « universités d’été et d’hiver » de 5 jours pour rendre l’enchaînement de l’apprentissage plus facile. Ce travail fut collaboratif et fut mené mis par moi-même, Bruno (15d), Hugues (15d), Manolo (14d), Stéphane (12d), Patrick (8d), Guillaume (8d) et la participation des élèves du Bujinkan France pendant 2 ans et demi (5 universités) pour arriver en 2003 au mémento du pratiquant que vous connaissez tous.

3. Le mémento est composé de telle sorte que chaque nouveau Kyû se base sur l’apprentissage des Kyû précédents. Le pratiquant peut ainsi en 2 à 3 ans couvrir l’intégralité du tenchijin ryaku no maki d’une façon logique et coordonnée. A partir du 5° Kyû, les bases des armes sont ajoutées dans l’ordre suivant : tantô, kunai, shotô, hanbô, jo, bô. Cette progression se fait par taille progressive permettant ainsi aux élèves de prendre en compte le « kûkan » (l’espace) dans lequel ils évoluent. A partir du 2° Kyû les armes plus complexes que sont le sabre, la yari et la naginata sont ajoutées pour compléter cet enseignement. Suivant les possibilités, un stage buki waza couvrant toutes les bases des armes sera organisé plus tard dans l’année. il durera aussi 5 jours.

4. Le stage TCJ qui ne couvrira que le travail à mains nues permettra à tous les pratiquants de repartir avec une vision plus complète du tecnhijin ryaku no maki. Seul le fait d’apprendre TOUTES les techniques dans un même stage permet à chacun : débutant, avancé ou professeur de comprendre l’interaction entre le Ten, le Chi et le Jin. La restitution de ces différentes composantes est laissée libre à la compétence de chaque instructeur en fonction de son expérience et de sa sensibilité. C’est donc un stage qui s’adresse à tous.

5. Pendant les 5 jours de l’université TCJ nous verrons « l’intégralité » du Tenchijin Ryaku no maki soit : 108 techniques et principes du Ten Ryaku no Maki ; 100 techniques et principes du Chi Ryaku no Maki ; et 58 techniques et principes du Jin Ryaku no Maki. Soit un total de 266 techniques et principes !

6. Comme nous verrons environ 50 techniques et principes par jour il est évident que mémoriser l’ensemble sera impossible mais c’est comme cela que le Bujinkan s’enseigne, non dans la forme mais dans l’esprit.

Inscription Université TCJ 2010 :

A bientôt,

AJC

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Rentrée 2010

Bonjour à toutes et à tous,

l’heure de la rentrée approchant, il est temps de dépoussiérer son Keikogi pour ceux qui ont choisi le repos pour leurs vacances et retrouver son Dojo favori. Retour au travail des bases et sur l’accueil des nouveaux arrivants; ces deux points sont très importants, fondamentaux oserais-je même pour la bonne (sur)vie du Dojo.

A cette occasion, ce Mardi soir ainsi que Mercredi soir nous avons la chance d’avoir M. Arnaud Cousergue Sensei pour nous faire cours.

Enfin pour les dernières nouvelles, cette année voit l’ouverture d’un nouveau Dojo à l’école militaire de Paris pour remplacer le Kikentai. Les cours seront assurés par le grand Bruno Vicaire (dans tous les sens du terme).

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Jupi Summer Camp 2010 Is Online!


Dear friends,

You can now register to the Jupi Summer Camp 2010 and be one of the 25 participants accepted.

The theme this year is nagare, the flow. And we will use the fundamentals of the tenchijin ryaku no maki and the feeling of rokkon shôjô to express it.

The Jupi Seminar has now become a legend in the bujinkan. Until last year this seminar was open to black belts only and mainly shidôshi.

This year in order to celebrate the 20th edition of this seminar, I have decided to open it to anyone with at least 1 year of training in the bujinkan. Now, if you are more experienced the better.

The seminar begins in 1 month so if you are interested check the website now and register to be one of the “happy fews”.

Arnaud Cousergue

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Les arts martiaux, simple divertissement ou école de l’adaptation ?

le 01 avril 2003
Alors que la recherche d’un meilleur confort de vie devient une préoccupation constante de nos sociétés modernes et que les loisirs font de plus en plus partie intégrante de la vie des individus, nous constatons un accroissement de l’intérêt que suscite le sport tant au niveau médiatique qu’au niveau de la pratique.
Egalement affectés, les arts martiaux se retrouvent convertis en disciplines sportives par l’établissement de règles de jeu et la mise en place d’une certaine codification, le but étant de répondre aux attentes du public et de leur offrir une pratique physique qui leur plaise. Mais pouvons-nous alors encore qualifier ce genre d’activités comme étant des arts martiaux ?
Il faut savoir que les arts martiaux, comme leur nom l’indique, désignent avant tout la technique ou la pratique de la guerre. Or, la guerre est définie par Sun Tzu d’emblée en introduction à son traité comme étant « le terrain de la vie et de la mort, [...] la voie qui mène à la survie ou à l’anéantissement ». [2]
Etant donné l’enjeu de la « guerre », nous avons tout intérêt à nous demander si notre pratique martiale nous prépare efficacement à faire face à « l’ennemi ». Est-ce la réalisation de grandes performances dans le cadre de critères définis par un jury sportif qui nous permettra de survivre et d’obtenir la victoire face à un « ennemi » inconnu et variable ?
Des éléments de réponse peuvent être trouvés dans les écrits que nous a laissés Sun Tzu dans son traité de stratégie militaire l’Art de la Guerre. Celui-ci a été éprouvé au travers des siècles et se trouve toujours d’actualité de nos jours.
La fin du chapitre six nous rapporte le texte suivant dans lequel nous puiserons les versets pour appuyer la réflexion menée dans cet article :
Lorsqu’on déploie ses troupes, le mieux est de les faire manoeuvrer sans ordre apparent, ainsi les espions ne peuvent rien déceler, les plus savants ne peuvent élaborer de plans. Lorsqu’on remporte une victoire en s’adaptant aux circonstances puis que l’on présente cette victoire à la foule, celle-ci ne peut comprendre. Tout le monde comprend les circonstances grâce auxquelles la victoire a été possible, mais personne ne comprend les principes qui ont permis la victoire. C’est pourquoi les combats ne doivent pas se répéter mais être tous différents selon les circonstances. L’armée doit être semblable à l’eau : comme l’eau évite les hauteurs et se précipite vers les creux l’armée évite les pleins et attaque les vides. Comme l’eau adapte son cours aux reliefs du terrain, l’armée construit la victoire en s’adaptant à l’ennemi. C’est pourquoi l’armée n’a pas toujours la même apparence, comme l’eau n’a pas toujours la même forme. Celui qui remporte la victoire en s’adaptant aux transformations de l’ennemi, on peut l’appeler un prodige. Aucun des cinq éléments ne domine les autres à jamais ; aucune des quatres saisons n’est éternelle ; certains jours sont courts, d’autres sont longs ; la lune meurt puis renaît. [1]
Il est évident que « les combats ne doivent pas se répéter mais être tous différents selon les circonstances. [1] » Comment est-il possible de se conditionner à exécuter un enchaînement sans connaître les circonstances dans lesquelles il devra être appliqué ? Alors pourquoi se confiner à un ensemble restreint de possibilités et ne travailler qu’en vue d’être victorieux selon une seule circonstance ? Pourquoi s’entraîner à gagner selon des règles prédéfinies qui de toutes façons diffèrent certainement de la réalité ? Pourquoi s’enfermer dans une forme figée en faisant totalement abstraction des circonstances extérieures ?
Comme l’eau adapte son cours aux reliefs du terrain, l’armée construit la victoire en s’adaptant à l’ennemi. C’est pourquoi l’armée n’a pas toujours la même apparence, comme l’eau n’a pas toujours la même forme. Celui qui remporte la victoire en s’adaptant aux transformations de l’ennemi, on peut l’appeler un prodige. [1]
Bien que souvent négligée aujourd’hui par la plupart des disciplines, cette adaptation permanente à l’ennemi est encore travaillée dans les arts martiaux, en particulier au travers du Budô Taijutsu qui permet au pratiquant de développer « le mouvement naturel du « Shizen Gyô Un Ryû Sui », c’est-à-dire le « mouvement beau et naturel toujours adapté à la situation ». [3] » C’est alors que nous comprenons le sens du proverbe « ban pen fu gyo » qui se traduit par « Dix mille changements, pas de surprise ».
Cependant, « le mouvement naturel ne peut s’enseigner ou se travailler, il vient naturellement par la pratique. [3] » Sun Tzu en a fait lui-même la remarque :
Lorsqu’on remporte une victoire en s’adaptant aux circonstances puis que l’on présente cette victoire à la foule, celle-ci ne peut comprendre. Tout le monde comprend les circonstances grâce auxquelles la victoire a été possible, mais personne ne comprend les principes qui ont permis la victoire. [1]
En effet, s’il n’est pas possible de définir au préalable les mouvements adaptés aux circonstances présentées par l’ennemi, de les inscrire dans une forme ou un enchaînement générique, le mouvement naturel qui conduit à la victoire ne peut se montrer et ne peut donc pas être comprise. S’il ne peut pas être enseigné, il peut en revanche s’acquérir par l’entraînement car c’est en s’habituant à ne pas s’emprisonner dans une mécanique que nous finissons par être capable de nous adapter plus facilement à l’ennemi premièrement, mais aussi à toute situation potentielle de la vie.
Ce dernier aspect est fondamental. Nous vivons dans une période de paix relative où l’application directe des arts martiaux pour la survie sur un champ de bataille devient peu probable. S’adapter aux circonstances reste néanmoins valide dans le monde dans lequel nous vivons. Celui est en perpétuel changement.
Dans le contexte des affaires, les fusions d’entreprises entraînent des changements de méthodes de travail, les collaborateurs doivent pourtant réussir à s’adapter. Face à la globalisation de l’économie, il est fort à parier que le 21e siècle exigera une ouverture aux autres langues et cultures. Les technologies évoluant sans cesse, la survie dans la société dépendra donc également grandement de leur maîtrise.
Références
[1] L’Art de la Guerre de Sunzu, article VI (fin), traduction de Valérie Niquet [2] L’Art de la Guerre de Sunzu, article I (début), traduction de Valérie Niquet [3] Programme technique Bujinkan France par Arnaud Cousergue
Bertrand Luc

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